Plan de Mobilité inter établissements "MOBICAMPUS"
Lancé à l’initiative de l’université de Bordeaux et de Bordeaux Métropole, 16 établissements d’enseignement supérieur publics, privés et centres de recherche du domaine universitaire s’engagent ensemble pour élaborer un plan de mobilité inter-établissements en 2022.
Cette démarche, spécifique à un campus, associant autant de partenaires est, à cette échelle, une première en France puisqu’elle regroupe 16 établissements d’enseignement supérieur publics/privés et centres de recherche/ filiales : Université de Bordeaux, Université Bordeaux Montaigne, Bordeaux Sciences Agro, Sciences Po Bordeaux, Bordeaux INP, CROUS de Bordeaux-Aquitaine, ENSAM, ENSAP Bordeaux Architecture, Kedge, IRTS, CREPS, les centres de recherche INRIA et CNRS et les filiales universitaires ADERA, AST Innovations et SRIA .
Les communes de Pessac, Talence et Gradignan et la Région Nouvelle-Aquitaine sont intégrées à la réflexion.
Qu'est-ce qu'un plan de mobilité ?
Un plan de mobilité est un ensemble de mesures, basées sur un diagnostic, visant à améliorer les conditions de déplacements vers et sur chacun des sites géographiques des établissements engagés. Elles permettront ainsi de diminuer les émissions polluantes et de réduire l'encombrement en termes de stationnement et de circulation. Le plan de mobilité rentre pleinement dans les actions de la feuille de route des transitions sociétales et environnementales de l’université de Bordeaux.
Le saviez-vous ?
Le domaine universitaire de 235 hectares répartis sur les communes de Pessac, Talence et Gradignan, accueille aujourd’hui près de 60 000 étudiants et 10 000 personnels. On comprend au vu de ces chiffres l’impact des déplacements domicile-travail et domicile-lieu d’études ainsi que dans le cadre de déplacements inter-sites sur l’agglomération. On comprend aussi l’importance d’une action partagée et cohérente à l’échelle de l’ensemble du campus.
Prenant appui sur le plan de mobilité du domaine universitaire, des plans de mobilités spécifiques seront ensuite déclinés dans un second temps pour l’ensemble des campus de l’université de Bordeaux.